mardi, avril 25, 2006

wonderful electric...



Y a des soirs comme çà....où il vaut mieux ne pas aller au cinéma voir

Separate Lies pasque c'est chiant comme la pluie ou la campagne anglaise au choix. On se fait arnaquer parce que l'affiche dit : Rupert Everett et adultère...mais c'est un vrai trompe-couillon...alors on se retrouve à la maison...devant son ordi...
Alors on peut être d'accord avec la demoiselle-là : "I'm in love with a strict machine". Les zumains sont bien trop décevants...

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