L'année s'est achevée sans trop de fards ni paillettes, faut que je re-glamoure ma vie, un peu. Cette vraie vie qui m'a bouffée, aspirée ces derniers temps. Je n'écris plus que dans l'urgence pourtant quand je le fais çà me procure énormément de plaisir. Sais pas, me manque sans doute quelques coups de pieds au tafanari, c'est clair...Enfin bon, pour renouer avec la tradition voilà la changaidoll de la nouvelle année. Qu'elle te soit douce, ô lecteur égaré dans la blogosphère, comme un tapis de fleurs de cerisier sous les pieds de la geisha aux zieux gris du film éponyme...
changabaisers parfumés..